Ève Christian, météorologue et chroniqueuse à la Première Chaîne de Radio-Canada a acceptée d’animer notre encan bénéfice pour une deuxième année consécutive.  Cette soirée se déroulera le 13 juin au Lion d’Or sous le thème : Soirée Tzigane!

D’abord, j’adore la musique. Elle est dans ma vie depuis ma naissance, grâce à ma maman. Déjà, toute jeune, elle enseignait le piano et l’orgue et l’a fait jusqu’à tout récemment.  Avant ma naissance, elle fut aussi pianiste de concert. Elle a même été pianiste-accompagnatrice lors de mes cours de ballet alors que j’étais ado et adulte. Et évidemment, elle m’a enseigné dès l’âge de 3 ans. Cependant, ma carrière de pianiste est plutôt demeurée au stade de plaisir que de concours. C’est plutôt la danse qui a pris toute la place dans mes loisirs. Mais je m’amuse encore à pianoter de temps à autre et j’ai plein de bons souvenirs des duos que l’on faisait ensemble et des pièces musicales qu’elle jouait pour m’endormir, dans mon enfance. Tout ça pour vous faire comprendre à quel point la musique fait partie intégrante de ma vie.

Ensuite, Appassionata. Ma première rencontre professionnelle avec cet orchestre et son chef a été lors d’un concert donné pour amasser des fonds pour la Fondation du Dr Julien, il y a déjà quelques années. J’étais animatrice pour ce concert et je me souviens de m’être rapidement sentie à l’aise autant avec le chef, Daniel Myssyk, que les membres de l’orchestre. Alors quand on me demande de m’impliquer avec eux sur différents événements, je le fais avec plaisir quand mon horaire chargé me le permet.

Comment as-tu trouvé ta première expérience “d’encantrice” l’an dernier?

Ouf… toute une expérience! Je vous avoue qu’au départ, je me demandais bien comment j’allais faire une “Iegor de St-Hippolyte” de moi-même. Grâce à ma présence à l’émission de Le Bigot, j’avais rencontré Monsieur de St-Hippolyte, il y a plusieurs années. C’était d’ailleurs ma seule rencontre de près ou de loin avec un encanteur. Alors j’ai tenté de me souvenir de la démonstration qu’il nous avait faite en studio, et d’extraits de films, puis, j’y ai mis ma couleur. Et je pense qu’on a eu bien du plaisir cette soirée-là! Évidemment, j’avais une assistante plus qu’importante en la personne de Françoise Henri, afin de mener à bien cet encan. Mais l’important n’était pas que je fasse une bonne prestation; c’était plutôt d’amasser le plus de sous possible pour cette collecte de fonds pour Appassionata. On m’a demandé de refaire l’expérience cette année… Ben… pourquoi pas! On s’amusera ferme encore! Allez! Une fois, deux fois, trois fois : adjugé!

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